Septembre, octobre et novembre s’annoncent bien pour l’île au sable d’or. De nombreux hôtels ont rouvert leurs portes et se préparent à accueillir des touristes venant du monde entier! Plages ensoleillées, paysage paradisiaque, hôtels prestigieux, festivals et événements culturels…le charme de Djerba continue de faire son effet.
On constate un accroissement significatif des activités professionnelles relatives au tourisme à Djerba et à Zarzis. Les chiffres démontrent que le nombre de touristes venus a augmenté de 25 % par rapport à l’an dernier. Soit 298 000 touristes recensés durant la période de juin à août 2016.
Du côté des établissements hôteliers, on a noté un taux d’occupation de 70%. En somme 130 000 touristes russes, 85 000 touristes locaux, 26000 Français, 14000 Libyens et 14 000 Allemands ont passé un séjour sur l’île et sur Zarzis. Ces statistiques ne semblent cependant pas satisfaire le commissaire régional. Il est déterminé à faire du trimestre septembre, octobre, novembre une saison touristique fructueuse.
L’île est réputée pour la beauté de sa plage Sidi Mehres qui attire de nombreux vacanciers tout au long de l’année. Mais, elle compte également un autre atout de taille, l’ « Hasdrubal Prestige Thalassa & Spa Djerba ». Un hôtel de luxe sis à Djerba où confort règne en maître. Il est considéré comme l’un des plus prestigieux et des plus beaux établissements d’hébergement de la Tunisie. Il propose des chambres de 100 m², un centre de thalasso de 11 000 m², une piscine extérieure mesurant 3200 m² (faisant se côtoyer eau de mer, eau thermale et eau douce).
L’édition numéro 4 du Festival International du Film des Droits de l’Homme s’est terminée le 12 septembre 2016. Depuis 2012, cet événement culturel permet à de nombreux hommes et femmes de dénoncer les réalités dans lesquelles les hommes vivent et de toucher les esprits. Manifestation à succès, elle gagne de plus en plus en notoriété. Djerba a hébergé cette année, des séances de projection à l’instar de Bizerte, de Gafsa et de bien d’autres régions. La cause des femmes prisonnières a figuré parmi les sujets les plus mis en avant. Les films primés sont les suivants : « La nuit de la lune aveugle » de Khadija Lemkacher, « Pousses de printemps » d’Intissar Belaïd, « The Trials of spring » de Gini Reticker, et, « A flickering truth » de Pietra Brettkelly.
